Document Type

Brief

Publication Date

1999

Abstract

Les Infections de l’Appareil Reproductif (IAR) sont courantes au Zimbabwe. Beaucoup d’IAR augmentent le risque d’infection au Virus de l’Immunodéficience Humaine. En 1998, le Conseil National de Planification Familiale du Zimbabwe (ZNFPC) a entrepris une recherche opérationnelle afin d’évaluer la faisabilité de l’intégration du diagnostic des IAR et des services de traitement dans son menu de services. La population étudiée consistait en 1634 clientes de trois cliniques du ZNFPC. Chaque cliente a été interrogée sur les douleurs au bas ventre, les pertes vaginales et autres symptômes d’IAR. Elles ont ensuite été examinées pour des signes cliniques d’IAR, et ont subi un test de laboratoire afin de confirmer la précision du diagnostic basé sur les symptômes et signes. Les conclusions détaillées dans ce document sont: que les méthodes courantes de dépistage des infections sont chères et inefficaces, les tests de laboratoire sont très coûteux, et la prise en charge syndromique est souvent incapable de mettre certaines infections en évidence et conduit à des traitements inutiles. Les programmes de santé doivent continuer à privilégier les mesures préventives : changement de comportement individuel et promotion de l’utilisation des préservatifs.

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Reproductive tract infections (RTIs) are common in Zimbabwe. Many RTIs increase the risk of human immunodeficiency virus (HIV) infection. In 1998, the Zimbabwe National Family Planning Council (ZNFPC) conducted an operations research study to assess the feasibility of adding RTI diagnosis and treatment to its menu of services. The study population consisted of 1,634 clients at three ZNFPC clinics. Each client was asked about lower abdominal pain, vaginal discharge, and other RTI symptoms; examined for clinical signs of RTIs; and given laboratory tests to confirm the accuracy of diagnosis based upon symptoms and signs. Findings detailed in this brief were that existing methods for screening RTIs among family planning clients are not cost-effective, laboratory tests are too costly, and syndromic case management often leads to missed infections and unnecessary treatment. Health programs should continue to emphasize preventive measures—changing individual behavior and promoting condom use.

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Also available in English and Spanish

DOI

10.31899/rh1999.1014

Language

French

Project

Frontiers in Reproductive Health

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